Quelque que soit la fonction exercée, que ce soit dans le privé, la fonction publique, la fonction militaire, à l’occasion d’un changement de poste et, le plus souvent, quand il s’agit d’une promotion, il arrive que l’on soit tourmenté au point de s’interroger sur sa capacité à être à la hauteur des attentes de ceux qui nous ont promu.
En effet la conjonction de différents facteurs peut parfois influer sur le regard que l’on porte soi-même à pouvoir satisfaire non seulement aux objectifs assignés mais plus simplement à un nouvel environnement professionnel. L’intensité des responsabilités, la gestion de ses équipes, le suivi des dossiers confiés, les prises de décisions à arrêter seul, parfois dans l’urgence, les obligations de représentations auxquels s’ajoute la vie privée et ses propres contraintes.
Dernièrement je recevais un cadre parmi mes consultants. Cet homme arrive au bureau à 07h00 en repart vers 19h-20h du lundi au vendredi. Il lui arrive régulièrement de retourner sur son lieu de travail une partie de la journée du samedi. Ainsi ce monsieur a l’esprit et le corps au travail 6 jours sur 7. Et quand il est chez lui, en plus de répondre aux tâches domestiques, il demeure joignable, jette un œil sur son portable qu’il finira par poser sur sa table de chevet en allant dormir. Et c’est également sur ce portable que se pose sa main le matin au réveil, même si durant toute la nuit il l’a laissé en mode sonnerie, « au cas où il est nécessaire de me joindre en urgence »
Au final, plus de césure entre travail et domicile. L’impression que tout se superpose, tout se mêle. Sentir que l’on perd pied et au final douter de sa capacité à assumer la mission confiée.
Combien se sont questionnés alors en disant : « Le costume n’est-il pas trop grand pour moi ? N’ai-je pas été trop ambitieux en sollicitant (ou en acceptant) ce poste ? »
La charge mentale qui pèse alors va induire non seulement des phénomènes physiologiques (fatigue, irritabilité, baisse de l’attention, perte d’appétit…) mais également des troubles psychologiques (doute, baisse de l’estime de soi, dépression…)
Si, parfois par l’expérience de situations déjà rencontrées, des personnes sont en capacité à gérer seules ces situations ; une aide extérieure peut être utile pour accompagner la personne et l’aider « à piloter son cerveau ». Les personnes en situation de responsabilités « courent après le temps » le plus souvent… Et cette course effrénée ajoute à l’ensemble des facteurs négatifs d’autant plus que le temps passé ne peut jamais être rattrapé !
En tant que thérapeute, je vous propose de prendre du temps…juste un peu de temps…peu de temps. Mais un temps qui sera précieux et bénéfique. Bref non un temps qui sera perdu mais un temps qui vous en fera gagner d’autres !
Par une approche professionnelle, jamais ampoulée d’un jargon pompeux, je vais vous accompagner, vous aider à mieux gérer cette charge mentale, afin qu’elle ne soit plus ce poids qui pèse et que vous puissiez l’intégrer, la gérer afin de l’accepter pour ne plus la subir.
Jade Levrel
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